Chapitre III

(vous en avez pas bientôt fini avec mon nez ?? ^^)

Le Colonel Lorraine ne bougea presque pas, relativement interloqué... Avant qu'il n'ai pus dire quoique ce soit, quatres commandos stoppèrent Link.
"Qu'est ce que vous avez ..."
Lorraine fut interrompu par un de ses Amiral :
"Colonel, on signale une émeute dans le bloc carcéral A-23.4 ! L'Empereur y était aux prises avec un Elfe. Il vous demande d'être immédiatement sur place."
Tout en réfléchissant, Lorraine dit :
"Bien, dites lui que je serai là. Et vous, ordonna le Colonel aux qutres commandos, faites attention à ce qu'il ne s'échappe pas. Faites en sorte qu'il puisse parler, avec ou sans bras..."

Quiche Lorraine se dirigea vers la sortie, pris un turbolift pour se rendre au bloc carcéral A-23.4. Lorsqu'il arrive, Asuryan l'apostropha :
"Hepp Colonel ! Depuis quand vous laissez des intrus potentiellement dangereux et débiles entrer dans mon vaisseau ?? Cet Elfe aurait pu nouis faire du mal."
La fin de journée s'annoncait mauvaise pour Lorraine...
"Tout d'abord, cher Empereur, c'est mon vaisseau. La principauté Quichière est indépendante de votre Empire. Ensuite, son Indice d'Hostilité était de 2. Même un enfant aurait pu le maitriser, monseigneur, ironisa le Colonel Lorraine. Ensuite, je suis absolument libre de choisir l'équipage de mon vaisseaux, et je suis le seul Maiyre à bord, après la Métanith. Et permetter moi aussi de vous rappeller qu'il a grandement participé à éviter que les Tyrannides vous submerge. Vous avez donc une dette envers lui, Sir.
Asuryan semblait un peu déconcerté, mais au fond, Lorraine avait raison. Les Efles n'étaient pas crains à cause de leur force physique.

"Maitenant, nous allons partir d'ici. Je vous ramène sur Yaden XIV. Puis, j'aimerais réparer mon Destructeur, et soigner l'équipage. Vous comprenez, d'un, c'est le seul vaisseau capable de nous ramener, de deux, je ne veux pas prendre le risque de tuer plus d'hommes aujourd'hui. Le sang a assez coulé. Ma décision est irrévocable.Le dossier Naeportia est clos, Empereur."

Le vaisseau-amiral de Quiche Lorraine décola de la planète maudite, puis passa en subluminique. Link22 avait été laissé sur Naeportia. Selon Lorraine, cela lui apprendrait à "vivre chichement en société."

Pendant que Link et Drahis tenaient un conciliabule, le Colonel Lorraine se faisait copieusement insulté par Asuryan. Le vaisseaux-amiral du Colonel Lorraine était déjà en hyper-espace. Le système Yaden était à encore 2 heures de la postion dudit vaisseaux.

Asyran se retourna et ironisa :

Mon cher Quiche Lorraine, je vais vous laisser à vos affaires... Je dois retrouver cet artefact contenant de l'énergie metanith en grande quantité, de plus vous avez laissé sur Naeportia l'une de mes troupes d'élite et plusieurs centaines e soldats que l'on n'a pu évacuer y sont restés !! Alors vos morts attendrons, car ce sont des eldars qui sont en bas, sous une montagne de tyranides !

Sur ce Asuryan s'élança dans les airs et déploya des ailes de meta-énergie, atterissant près du temple. Il fit d'abords face à une vague de tyranides qu'il écrasa d'une onde magnétique, puis il alla rassembler ses hommes... Il fit alors face à l'armée tyranide dans son entier...

Commandant Quiche Lorraine, que fait-on ?

Attendez, je veux voir sa mort.

Asuryan faisait face à la seconde vague tyranide et lança tout son pouvoir dans un tremblement de terre qui ébranla la planète elle même. L'armée tyranide fut engoutie par la terre et ses équipes ne furent sauvées que par des boucliers déflecteurs de haute technologie... Asuryan regarda le temple, plus que des ruines fumantes, les recherches allaient se compliquer... Mais pour ne rien arranger, l'activité volcanique de la planète s'était accentuée...

*Cet Empereur va finir par se faire tuer... Pourquoi papa voulait que je le protège au prix de ma vie ?? *

Sur cette pensée, Lorraine se retourna, et cria sur l'Officier le plus proche :
"Amiral Piett, informer le contingent Quichié Impérial le plus proche. Je veux que tous les hommes disponibles viennent le plus rapidement possible. Il faut qu'ils emportent des armes lourdes, et beaucoup de matériel de survie. Allons, dépéchez-vous !"

Puis, il alla dans son bureau privé, pris en comlink, et donna des ordres aux troupes d'assauts de son vaisseaux.
"Nous allons retourner sur Naeportia. Notre Empereur veut à tout prix sa Métanith, et vous savez que la mission qui m'a été donnée par mon père est de le protégé. Je veux que vous établissiez un périmètre de sécurité autour du temple. Pour l'Empereur !"


40 navettes d'assauts sortirent des hangars du Destructeurs, accompagnés par des Vaisseaux de Batailles. Quiche Lorraine se trouvait dans l'un deux, avec son état-major.
Lorsqu'ils arrivèrent sur place, Asuryan finissait d'achever un Tyrannide. Il avait éliminé tout ennemi. Malheureusement, il savait que d'autres Tyrannides reviendraient. Lorraine lui suggéra :
"Mes hommes et vos Eldars vont s'occupé de maintenir les Tyrannides loin de votre Personne. Vous devriez commencé à fouiller le temple. Si vous le souhaitez, je peux vous accompagner "

Asuryan répondit poliment :
"Non, ca ira. Merci Lorraine. Retournez à votre vaisseaux, on a besoin de vous pour coordonner la défense"
Quiche Lorraine s'éxécuta. Il s'en fut.

Asuryan satisfait ordonna à ses troupes de monter le camp, et il se dirigea vers Drahis :

Tu devrais comprendre que tu n'es pas de taille à m'affronter, alors pars avant que je ne change d'avis !

Une fois dans son siège de Commandeur, Quiche Lorraine commença à postionner ses troupes et ses vaisseaux à des endroits stratégiques. La bataille pour la Métanith ne faisait que commencer...

Asuryan détourna son regard de l'elfe et alla vers le Commandeur :

Je suis déçu mon cher. Trés déçu !

Il s'approcha et commanda depuis l'ordinateur à ses vaisseaux personnels de venir... En effet, un autre guerrier attendait caché dans l'ombre, plus terrible encore que les tyranides...

Asuryan finit par s'arrêter et regarda Drahis en face :

Tu veux un duel pour finir tes jours, elfe ?

"Avant tout, sachez que je ne répondrerais ni des actes de l'un, ni de l'autre. Et je ne tiens pas à salir mon vaisseau de votre sang, bleu ou pas. De plus, j'ai la vie de plusieurs milliers d'hommes et d'Eldars entre mes mains (pour votre Défense, Sir Asuyran). Ils sont actuellement en train de se combattre contre les Tyrannides. Je ne veux pas être dérangé par votre combat. Mes hommes vont vous raccompagnez dehors, près du Temple, où vous pourrez commencer votre épique duel, qui restera dans les annales, j'en suis sûr."

Après ces paroles, Link, Asuryan et Drahis furent raccompagnés dehors.
Arrivés à proximité du temple, les trois protagonistes continuèrent à forcer leurs destin.

Pendant ce temps, le Colonel Lorraine coordonnait les assauts des Eldars et des hommes, pour éviter que le duel ne soit interrompu par les Tyrannides. La taux de réussite était de 98%.

[Link... T'es censé être loin de mon vaisseau, maintenant. Sauf si tu maitrises la télépathie, tu ne peux ma parler Edite ton message ]

Bientôt, la mélée confuse cessa, les tyranides fuyant au loin, criant de terreur face à la rage de l'armée. Asuryan lécha le sang de sa lame, après quoi il alla voir Drahis :

Tu veux toujours te battre ? Je crois que oui, alors voilà ce que tu as le droit de te prendre dans la figure aujourd'hui ! dit l'Empereur en projetant un rayon laser qui sortit de sa main comme un jet de plasma, l'un des rubis qui contenaient la metanith étincelait, affaiblissant Drahis qui fut projeté à plusieurs mètres :

Des suggestions ? demanda ironiquement Asuryan en se créant un bouclier d'énergie invulnérable.